A Gabès, par moments, je me croyais dans un roman d’Antoine Volodine. Les romans d’Antoine Volodine, et des écrivains du post-exotisme en général [1], sont peuplés d’Untermenschen, d’humains presque animaux ou l’inverse, de vétérans révolutionnaires agonisants ou bien déjà morts. Ils errent au [...]