Reporterre, « quotidien de l’écologie » sur le web se veut en « en empathie avec les mouvements écologiste, altermondialiste, et alternatif« . Il considère l’écologie dans toutes ses dimensions, pas uniquement environnementale, en insistant sur le caractère fondamentale des rapports sociaux.

La Confédération Paysanne est sensible à l’écologie politique et sociale défendue par le web-magazine. Au vue des nombreux articles qui dénoncent l’agriculture industrielle (La Ferme des Milles Vaches), ses désastres environnementaux (OGM et brevetage du vivant) et sociaux (les dessous du jus d’orange), je soumets alors l’idée d’un sujet sur les travailleurs migrants saisonniers dans l’agriculture de la Drôme.

Parce que Reporterre c’est aussi un magazine réceptif et à l’écoute de ses lecteurs : chaque semaine les conférences de rédaction tiennent compte des propositions de sujet envoyées par les lecteurs. Si la rédaction n’a pas le temps ou les moyens d’y consacrer une enquête, elle me propose de rédiger une tribune : un article d’expression qui permet de pousser un coup de gueule contre l’exploitation des saisonniers, les dérives de l’agriculture industrielle et la nécessité de repenser les aspects sociaux, environnementaux et politique de notre modèle agricole…

Merci à Reporterre qui publie le 23 juillet, la tribune : « Les travailleurs saisonniers subissent l’enfer de l’agriculture industrielle« .

 

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Source : Reporterre