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Espagne / Droit à la ville /

Ada C. et l’Observatori DESC
25 mars 2012 par Alejandro

Traduire les luttes sociales aux propositions de transformation judiciaire.

On a rencontré Ada C. au bureau de l’Observatori DESC à Barcelone, une association qui travail pour la défense et la promotion des droits de l’homme. On était Charlotte de l’AITEC-HIC, Claudio, chercheur chilienne sur les mouvements citoyenne pour le droit à la ville, Vanessa de l’Observatori, Ada et moi.

J’avais eu le contact à travers de Maribel C., du groupe de Repensar BonPastor. Ada est très dynamique, et un des moteurs de la PAH plateforme des affectés pour l’hypothèque. Charlotte l’avait contacté aussi, à travers le réseau de HIC, et en fait, l’Observatori sera probablement la délégation de HIC en Espagne.

On voulait discuter sur l’organisation du Forum Social Urbain à Naples, et connaître des dynamiques des citoyennes à Barcelone. Le rencontre a été très positif. Ada nos racontait que l’Observatori a comme objectif faire une articulation entre les mouvements militants et les travaux de recherche scientifiques. Ils sont faits plusieurs travaux de recherche et plainte sur la situation des droits de l’homme à l’Espagne.

Sur les mobilisations de la ville, et la journée ou laquelle on avait participé sur les coopératives de construction et habitants à Barcelone, Ada nous racontait comme les associations des voisins, de fois, ils sont des filtres, des tapons des mouvements spontanées des voisins, utilisés par les partis politiques. Elle dénonçait comme les politiques de « gauche » n’avaient aucune politique de transformation sociale. Elle relatait comme même les coopératives des syndicats, qui sont celles qui sont plus travaillé avec plus de 15.000 logements en Catalunya, a la fin, ont été dénoncé par corruption.

Sur l’Observatori DESC, nous disait que son budget provient principalement des fonds publiques : de l’État, de la région et de la ville. À ce moment, ils ont des difficultés pour les réductions budgétaires. Aussi, jusqu’au moment, ils ont été obligé aussi à faire de la coopération international au développement pour pouvoir financer son action local. « Il y a toujours plus d’argent pour faire dehors que pour faire chez nous ».

L’Observatori DESC travail aussi dans la formation. « À l’origine, il y a eu des professeurs universitaires, liées au droit constitutionnel, qui ont crée l’association, comme par exemple, Geraldo Disarello ». C’est pour ça qu’il y a eu toujours cette intérêts pour faire joindre des mouvements des basse, et les travaux et la langue des avocats, juridiques, chercheurs universitaires. Même elle avait les idées claires « on ne veut pas substituer personne ». Ils veulent « légitimer les luttes sociales, leur donner un corpus théorique et traduire ses appels et ses luttes sur le plan juridique et constitutionnel ». « On veut aussi créer espaces de participation. »

Ils participent aussi dans différents espaces de participation, comme le conseil municipal du logement. « Il n’est pas même consultative ! mais au minimum on est informé des politiques publiques » « Malheureusement, Il n’y a pas un réseau de travail ».

Sur le sujet spécifique des logements et habitat, Ada nous disait qu’il n’y a pas des travaux de recherche sérieux, qu’il n’y a pas même des donnés claires sur la situation de l’Espagne, à cause de la décentralisation régionale, ou chaque régions a des donnés différents. Elle nous disait aussi qu’il faut faire attention sur ce qu’on veut dire avec « logement public ou social ». « Ils ont inventé une formule de logement public à loyer avec option à l’achat » ici, à l’Espagne. On a parlé aussi des expériences. Elle connaissait des exemples comme celle de la fondation Ave Pierre et son rapport sur le mal logement, ou le mouvement du Jeudi Noir. Amnistie International est aussi en train de faire des études sur la santé public et le logement en Europe. Mais a son avis, ils ont des limitations. Aussi Caritas, travail au dedans mais, jamais ils mirent la question à l’État, ils travaillent toujours vers la médiation résidentielle, mais pas contre la législation.

Pour Ada et l’Observatori DESC, on ne peut pas éviter le conflit, mais l’Administration va jamais aller contre les entités bancaires ou les propriétaires.

Au niveau européen, ils vont aller à une journée organisée par l’Université de l’Irlande et le professeur Padraic Kenna. Il y a aussi un réseau européen des personnes sans toile « CEANSA ». L’Observatori DESC vient aussi de publier une étude sur Femme et logement en Europe.

En travaillant sur la FSU à Naples, Ada connaissait des gens de l’association Action, à Rome. « Dans cette ville il y a une forte tradition d’occupation. Les familles occupent des bâtiments publics. Là-bas tout est plus normalisé ». Elle nous racontait aussi qu’il y a plusieurs lignes d’occupation. « Action veut aussi touché le marché privé ».

Pour approfondir : http://observatoridesc.org/ http://afectadosporlahipoteca.wordp...




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