Table ronde des initiatives des coopératives à Bon Pastor, Barcelone.

Organisé par le groupe autonome Repenser Bon Pastor, il y a eu dans le centre social du quartier, une table ronde sur des expériences coopératives à Barcelone. A la table, il y avait une diversité très ouvert des expériences, y compris, d’accès au logement.

La table ronde était gérée par une ancienne architecte uruguayenne, avec une grosse expérience en coopératives des logements et des habitants. Elle a commencé son exposé en faisant une lecture historique, et en disant comme la forme juridique des coopératives avait tués ses principes originaires.

« Dans l’actualité, la législation permet faire des coopératives sans coopérativisme, sans participation, et sans une organisation horizontale ».

Peuple, mouvement ouvrier, syndicats, indignées « on est ou à ce moment ? » disait Raquel Fonsalba. Elle à présenté aux protagonistes. Ils sont organisé la table ronde avec des questions que chaque un des expériences devait répondre.

On a commencé avec Can Masdeu, une communauté situé à la périphérie de Barcelone, dans le début du foret, mais pas loin d’une station de métro. Ancienne palais et centre médical, il était abandonné depuis les années 50. Au début des années 90, un groupe des activistes écologistes ont occupé le bâtiment. Après la pression policière et une résistance no violent des activistes, ont eu la calme pour faire sont projet. Can Masdeu est un centre social et une communauté de 30 personnes. Ils ont aussi des terrains communautaires pour faire l’agriculture biologique. Le contexte paysagiste est merveilleuse, et le projet aussi, avec plein des initiatives dans la construction et dans les activités pour les voisins et les citoyennes.

Après on a pu connaître l’activité de l’association et coopérative Sostre Civic, un groupe des personnes et professionnels qui sont en train de promouvoir les coopératives de cession d’usage, un modèle « Andel » des coopératives très développé dans des pays scandinaves. Ils sont parlé des difficultés juridiques et financière pour que le model soit reconnu par la loi et par les politiques publiques de promotion de logements.

Dans la table ronde, ils sont participé aussi le cas de Calcaxas, une coopérative des habitantes situé au milieu rurale, et la Ciutat invisible (Ville invisible) une coopérative de travail, liée au milieu éditoriale et aux mouvements des quartiers, notamment celle du quartier populaire de Sans.

En dernière, la Coopérative Intégrale Catalane a présenté son projet. Sa vision est globale : une nouvelle économie, une nouvelle façon de nous joindre, un processus de transformation social. Ses principes : la démocratie réel par assemblé ; la pris des décisions par consensus. « On veux reconstruire la société depuis la basse ».

Comme fils rouge entre toutes les expériences, il y a eu toujours un fantôme des valeurs et principes. On a perdu l’habitude de justifier et légitimer nos actions par cette basse qui doit être étoile du Nord de notre chemin. Pendant la réalisation de la table ronde, il n’y a pas eu peur de parler de solidarité, fraternité, justice, responsabilité, contrat sociale.

Pour approfondir : http://repensarbonpastor.wordpress.com/ http://www.sostrecivic.org/ http://cooperativa.cat/ http://www.canmasdeu.net/