Une alternative solide : les coopératives Andel.

Le vendredi, Diego m’a invité à manger avec ses parents, et après on est allé ensemble au bureau de Sostre Civic, qui est tout à coté. C’est un bon quartier, près de l’avenue Diagonal, la spin dorsal de l’Exemple de Cerdá, le première plan d’urbanisme moderne du monde et une défense –à l’époque- de l’égalitarisme et la reforme sociale.

Sostre Civic est une association, une coopérative de travail et une coopérative des habitantes en cession d’usage. Depuis 2004, ils sont commencés à travailler en pensant comme pouvoir accéder, autant qu’un groupe des gens, à un toile digne. À partir de cette question, ils sont développé son initiative.

Diego avait travaillé à la distance parce qu’il était au Maroc en réalisent des projets sur l’habitat et le développement. C’est là-bas ou on s’est connu, car on travaillait dans des projets pareils, mais pour des organisations différentes.

Sostre Civic est soutenu par une équipe de travail de 6-7 personnes. Raul a été un des principaux moteurs de l’initiative. Ingénieur, et avec des connaissances en économie, il a gagné le prix de la fondation Shoka, qui appui des leaders des initiatives d’Économie Sociale à l’échelle internationale.

Peu à peu, ils sont commencé à avancer dans la définition de sa proposition et la consolidation de l’équipe, ou on trouve des différents discipline de formation : un équipe des avocats, architectes, sociologues, assistantes sociales, etc. À ce moment, Diego et Raul travaillent au temps complets, et les autres sont en train de s’incorporer.

Dans son bureau, on peut trouver des plans des différents projets que, comme coopérative de travail, ils font pour pouvoir soutenir son initiatives : projets de rénovation urbaine, projets de réhabilitation architectonique, etc.

Le lendemain, il y avait une journée d’information et travail entre les associés et les intéressés de la coopérative. Samedi, on était là avec autres amis. Il y avait plus de cent cinquante personnes. Ils avaient venu depuis toute la région.

Ponctuelles, à dix heures, ils sont commencés par la présentation. La vision était claire :

« le logement est un droit basique universelle, et prioritairement un bien d’usage et pas d’inversion ». Les valeurs qu’ils défendaient : l’autogestion et la société civil organisé, l’écologie et la mixture sociale ; et les valeurs du coopérativisme et de l’habitat collective.

Sostre Civic a comme objective implanter un modèle de coopérative des habitants en cession d’usage, un modèle scandinave où la propriété du bâtiment appartient à la coopérative, et les associés participent et garantirent le droit de usage indéfini, transmissible et abordable.

Ils sont expliqué d’une façon générales ses idées… le régime juridique de la coopérative, les droits et les obligations d’être associés. À l’Espagne, à ce moment, il n’y a pas la possibilité et la reconnaissance juridique des coopératives des habitants. La loi reconnaît les coopératives de construction des logements. Un des principales voies de travail de Sostre Civic est la pression politique pour le changement de la loi espagnole et catalane.

Après il y a eu une dynamique participative, entre le plus de cents personnes qui étiaient présente à la salle. On sa divisé en quatre groupes, selon différents typologies possibles d’habitat : eco-village, co-housing, coopérative au milieu urbain, et eco-quartiers.

Tout s’a développé favorablement, avec une ambiance d’optimisme, ou une alternative est possible. C’est que surprendre le plus, est-il la cohérence des principes de ce modèle avec des fortes capacités de promouvoir un espace habitable et soutenable pour tous.

Pour approfondir : http://www.sostrecivic.org/